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Pour bien accueillir un nouveau-né, son arrivée doit être bien préparée.
Pour donc y arriver, une solution est de planifier la période où vous désirez tomber enceinte.
De nos jours, il existe plusieurs méthodes de planification des naissances, dont le calcul de votre période de fertilité pour ne pas tomber enceinte.
Découvrez dans cet article comment compter les jours pour ne pas tomber enceinte.
Comment ne pas tomber enceinte ?
Pour éviter de tomber enceinte, il existe plusieurs méthodes contraceptives, dont la méthode du calcul des jours. Il s’agit d’une méthode naturelle qui vous permet d’éviter d’avoir des rapports sexuels non protégés au cours de la période de fécondité. Pour bien utiliser cette méthode, il est important que vous soyez informé de certaines données préalables.
- La durée de vie des spermatozoïdes est de 5 à 6 jours.
- Un ovule vit pendant 48 heures au plus.
- Lorsque vous avez des rapports sexuels 5 à 6 jours avant l’ovulation, il y a de fortes chances que vous tombez enceinte.
- Le risque de tomber enceinte est aussi élevé lorsque vous avez un rapport sexuel deux jours après l’ovulation.
- La donnée la plus difficile à déterminer est la date de l’ovulation. En effet, c’est d’elle que dépend la fécondation, donc la grossesse.
En étant consciente de ces informations, vous saurez mieux comment éviter une grossesse de façon naturelle puisque le nœud se trouve au niveau de la date d’ovulation.
Comment calculer les jours de l’ovulation pour un cycle régulier ?
Pour celles qui désirent utiliser une méthode naturelle pour éviter une grossesse ou ne veulent pas utiliser des applications, le repérage de la période l’ovulation est la solution. En effet, la meilleure alternative que vous avez est d’identifier votre date d’ovulation sans l’utilisation d’un test. Cette méthode est plus adaptée pour les femmes dont le cycle est régulier parce que les délais sont identiques. Pour déterminer la date de l’ovulation, diminuez de 14 jours la date de vos règles. Dans le cas où vous avez vos règles tous les 20 du mois, l’ovulation se fera le 6 de tous les mois.
Au cas où vous avez un cycle menstruel de 34 jours, l’ovulation aura lieu le 20e jour du cycle. Pour le cas où votre cycle menstruel est court (d’une durée de 22 jours), l’ovulation aura lieu le 8e jour de votre cycle.
Pour compter le nombre de jours de votre cycle menstruel, vous devez prendre le premier jour comme le jour de vos règles. Ce cycle se terminera soit 22, 28 ou 34 jours après le premier jour de vos règles. Votre date d’ovulation dépendra donc du nombre de jours de votre cycle. Cependant, il faut noter que beaucoup de femmes ont un cycle irrégulier. Dans ce cas, le calcul de la date d’ovulation est plus difficile.
Comment déterminer l’ovulation pour un cycle irrégulier ?
Lorsque vous avez un cycle irrégulier, vous avez le choix entre différents moyens de détermination du jour d’ovulation. Il s’agit de méthodes naturelles par lesquelles vous pourrez reconnaître si vous êtes en période d’ovulation.
La glaire cervicale : c’est un liquide que la femme retrouve dans ces sous-vêtements à certaines périodes de son cycle menstruel. Elle est plus filante et transparente lorsque l’ovulation approche. Que vous ayez un cycle irrégulier ou régulier, il vous suffira de l’examiner. La glaire cervicale doit être élastique.
Lorsque vous ne pouvez pas compter les jours à cause d’un cycle menstruel irrégulier, le col de votre utérus peut aussi vous renseigner. À l’ovulation, le col de l’utérus se positionne en haut du vagin, il est droit et devient plus mou que d’habitude.
La température de votre corps varie seulement après qu’il y a eu l’ovulation. Après avoir constaté cette hausse de température, il sera trop tard si vous venez d’avoir un rapport sexuel.
Quels sont les changements de votre corps qui montrent que vous êtes en ovulation ?
Certaines transformations au niveau de votre corps peuvent servir de signaux pour mieux repérer le moment de l’ovulation.
En effet, que votre cycle soit long ou court, vous aurez des transformations telles que des douleurs à la poitrine. Elle devient plus sensible et augmente de volume. Il peut arriver que vos tétons vous grattent ou que vous y ressentiez des picotements.
Vous ressentirez aussi des douleurs soit du côté droit ou du côté gauche de votre bas-ventre.
Ce côté indique l’ovaire qui a libéré l’ovocyte. C’est l’un des premiers signes qui démontrent qu’il y a eu une ovulation. Chez certaines femmes, le niveau de leur libido augmente de façon très importante. Dans ce cas, il faut éviter d’avoir un rapport sexuel non protégé.
Pour donc éviter de tomber enceinte après avoir fait le calcul de vos jours de cycle menstruel, vous devez éviter d’avoir des rapports sexuels. Si vous tenez à en avoir, vous protéger est essentiel.
Les règles : un des signes que l’on n’est pas enceinte
Parmi les signes que l’on repère le plus facilement, quand on veut savoir si l’on est enceinte, que ce soit avec joie ou avec appréhension, ce sont les règles.
Si l’on manque un cycle, cela peut être le signe que l’on a déjà dépassé sa date d’aménorrhée. L’un des points qui marquent les femmes, durant leur grossesse, c’est justement qu’elles n’ont plus leurs règles.
Il faut dire que les menstruations font partie de leur vie quotidienne, au moins pendant une semaine par mois environ.
Chacune a un rapport particulier avec ses propres règles, sachant que celles-ci peuvent être plus ou moins douloureuses et que le flux peut en être plus ou moins abondant.
Quelles que soient les règles que l’on a, il existe aujourd’hui un moyen de protéger ses vêtements contre tous les types de flux, du plus petit au plus abondant : la culotte menstruelle. Jusque-là on achetait des tampons, des serviettes et des protège-slips en fonction de ses habitudes, chacune des femmes ayant sa marque de prédilection et toutes sachant opter pour le bon modèle, en fonction de l’abondance de leurs règles, et donc des possibles débordements.
Désormais la vie est beaucoup plus simple, en tout cas pour ce qui concerne ces préoccupations toutes légitimes. En effet avec les culottes menstruelles, il suffit d’enfiler son shorty ou sa culotte taille haute sous une robe ou un pantalon, et de partir travailler tout-à-fait normalement. Il n’est plus question de se préoccuper d’avoir assez de tampons dans son sac, voire une culotte de rechange pour le cas où on aurait des soucis, c’est-à-dire des tâches de sang sur ses vêtements.
Les culottes spécifiques pour les règles font donc un tabac, auprès de toute la gente féminine, des plus jeunes femmes juste pubères à celles qui ont l’habitude d’avoir leurs règles depuis longtemps. Elles offrent en effet plus de liberté de mouvement, dans le cadre du travail comme pendant les loisirs.
En plus de cela elles offrent un confort moral, parce que les préoccupations qui étaient la norme auparavant n’existent plus ou presque plus. La culotte pour les règles est aussi simple à accepter, quand on est jeune et que la puberté est difficile à vivre. Si l’on est contente, pour bon nombre de jeunes, de devenir une femme, on appréhende tout de même beaucoup les règles, pour ce qu’elles ont de douloureux et de dérangeant physiquement, mais aussi pour ce qu’elles peuvent avoir de gênant, lorsque l’on est au collège et que l’on doit aller se changer dans les toilettes, en craignant plus que tout que quelqu’un ait pu voir que l’on avait saigné.
La culotte menstruelle se porte comme n’importe quelle autre, et elle absorbe les flux dus aux règles. Mais en plus de cela, elle peut être lavée.
Là encore les femmes gagnent en confort de vie, parce qu’elles n’ont plus besoin d’aller chaque mois s’acheter des tampons ou des serviettes au supermarché, espérant qu’il restera au moins une boîte de ceux qu’elles achètent d’habitude.
Là il suffit d’ouvrir le tiroir, de prendre une culotte menstruelle au lieu d’une culotte classique, et de l’enfiler puis, le soir, de la mettre à laver comme n’importe quel autre vêtement. Cela évite aussi la gêne dans certaines familles où les garçons n’ont pas été élevés en considérant que les règles sont naturelles et qu’elles ne sont pas sales.
C’est donc un phénomène de société qui s’appréhende différemment aujourd’hui. Il correspond à l’évolution des mœurs, les filles prenant une place plus légitime et les femmes ayant l’opportunité de vivre une vie différente de celles des générations passées.
Elles peuvent aujourd’hui s’affirmer, tout simplement, et prendre une part plus importante dans les décisions, dans la vie sociale. Elles ne sont plus reléguées à des rôles de représentation ou de figuration et elles n’ont plus l’obligation de ne faire que des tâches qui leur étaient jusqu’à là destinées dès leur naissance. Vivre mieux ses règles, c’est aussi avoir la chance de vivre plus pleinement en permanence, tout au long des douze mois de l’année, sans interruption due à des soucis de logistique des règles. La culotte menstruelle est donc une belle avancée.